BON MERCREDI

MAL DE TETE MAL D’ETRE

Je suis blessée, vanée, humiliée
Oui j’ai cru encore aider
Oui je pensais être écoutée
Alors je suis déçue
D’avoir encore perdu
Moi qui croyais en l’amitié
Mon jugement, je vais réviser
Pour ne pas me retrouver
Encore entre deux feux, coincée

Sur ce blog pendant quelque temps
Vous trouverez les articles présents
Bonjour, le jeu, et le saint du jour
Hé oui, que voulez vous c’est mon tour
De déprimer maintenant

Il m’aura fallu un moment
Pour comprendre assurément
Qu’on ne peut pas  aider
Quelqu’un contre son gré
Ca me chagrine pourtant
De voir ces amis
Se déchirer ainsi

JE ME PRESERVE POUR NE PLUS SOUFFRIR

OUI JE SUIS

en colère. Tiens il fallait que j’en parle dernièrement. Je vous l’ai dit, je suis colérique, mais il me faut quand même une raison pour me mettre en colère. Et là j’en ai une et une bonne (enfin je pense)

Je veux bien être votre amie, je veux bien aider, écouter, donner, laisser parfois des plumes. Je veux bien aussi pardonner, laisser couler, mais JAMAIS je ne tendrais l’autre joue, vous m’entendez JAMAIS. Il va s’en dire que quelques personnes vont se sentir ici, visées. Alors tant pis, c’est qu’apparemment j’ai dû touché un point sensible, il est évident qu’on croit pouvoir me manipuler, mais rassurez -vous, je sais ce que je fais !!!  La petite Fanette qu’on croit faible, gentille, douce et tout et tout, celle qu’on pense qu’elle est naïve et qu’elle ne voit rien. Eh bien non !!!!! Rassurez vous je ne suis rien de tout celà. J’aime les gens, j’aime les aider, les comprendre, les soutenir si besoin est. J’aime la solidarité, le partage, les sourires et les fous rire. J’aime l’entente entre nous.

Par contre je n’aime pas la guerre, la jalousie, l’envie. Je n’aime pas non plus la méchanceté, l’hyppocrisie et le mal être. Oui il m’arrive d’être triste pour vous, oui il m’arrive de penser juste un peu à moi et de pleurer sur mon sort, mais ici, JE SUIS CHEZ MOI, je dis et écris ce que JE VEUX, et personne, non personne, ne m’en empêchera

Je suis en colère parce que je  m’aperçois qu’on se moque de moi, bon, pas trop pour moi, non, mais tout bêtement que je n’aime pas avoir le cul entre deux chaises, j’aime poser mes fesses sur la même chaise. Alors ce serait bien qu’on arrête de se servir de moi, pour telle ou telle raison.

J’ai morphlé voilà un an déjà, j’ai perdu gros cette période là, alors, je n’ai nullement envie de recommencer à ces jeux là. Oui, je sais, on me dira de me calmer, de laisser tomber, que la meilleure réponse est l’indifférence, l’ignorance, mais quand on me connait je ne sais pas faire de ce côté là. En plus je suis énervée, évidemment ça fait deux nuits que je cogite pour essayer d’aider quelqu’un, donc, il est vrai que ça n’aide pas (tiens un petit sourire revient)

Je n’ai nullement envie de quitter qui que ce soit ici, ce sont des relations camarades, amicales, mais nullement amoureuses. Mon amour je l’ai perdu voilà 7 ans bientôt, l’autre aurait pu être vrai, donc n’essayez pas de me calculer sur ce point là c’est peine perdue, réservez votre énergie à toutes et tous essayer de vous comprendre et surtout de vous entendre.

Voilà, vous voyez je suis en colère, ça passera, c’est sûr mais pour le moment ça craint grave par ici

 

LE JEU

http://www2.selection.ca/wordpower.html

40 % bon apparemment ça ne me va pas de me lever tard en plus je l’avais oublier le jeu

NON JE NE FUIS PAS

Non je ne me fiche pas de mes ami(e)s
Et si aujourd’hui, je viens hurler ici
C’est que je voudrai que quelques un(e)s
Dans leur tête soient bien.

Oui j’ai eu cette impression
D’être parfois le pion
Dont on se sert pour
Casser une histoire d’amour.

J’ai quelque fois fais tâche
Dans des histoires d’amitié
Mais ce qui me fâche
C’est que j’y ai laissé
Mon amour, tant aimé

Alors vous mes ami(e)s
Je vais vous dire aussi
Débrouillez vous sans moi
Je ne veux plus pleurer
Et ne peux vous aider
Je ne fais que m’inquiéter
A bien sûr je vous ai aimé
Mais pour moi plus question
Il faut me faire une raison
J’ai pas mal déconné
Et maintenant c’est moi
Qu’il va falloir ramassé
A la petite cuillère je crois
J’en ai marre vraiment
De tous ces tourments
Qui me minent tant