UN PETIT DELIRE RIEN QUE POUR RIRE

Je me croyais blindée
Mais je suis tombée
Je croyais que tu reviendrais
Mais je me suis trompée

Peut être pourrai je écrire
Mais saurais tu me lire
Peut être que tous mes délires
On fini par te faire fuir

Ho non je ne crois pas
Tu es peut être las
Et moi dans mes fous rires
Je n’ai pas imaginer le pire

Alors si tu passes par ici
Arrêtes toi et relis
Hihih tu sais je te vois qui souris
A imaginer mes pitreries

Rho mon adresse tu n’as plus
Ou alors tu n’oses plus
Regardes, toi, ce que tu as perdu
Une amie fofolle de surplus

Je m’imaginais
Qu’une amitié naissait
Mais c’était sans compter
Sur quelques jalouses nées
Qui ont cru que tu dragais
Et qui se sont mélé
De ce qui ne les regardait

Evidemment tu es galant
Jamais un mot insultant
Donc elles se sont imaginé
Que la cour tu leur faisais

Si elles avaient été moins connes
Elles auraient compris que tu donnes
Un peu d’amitié dans ces mots
Mais la connerie ne connait pas le repos
Et la jalousie est le pire des maux

Aors pour quelques allumées
De toi nous sommes privées
On ne peut plus visiter
Ce blog que j’aimais

Hé oui c’est bien dommage
De voir tant de ravages
Et de ne pas expliquer
Pourquoi tu nous as quitté

J’espère que tu vas bien
Et qu’un jour j’aurai la surprise
De te revoir ici ou ailleurs
Et de délirer à ta guise