ENFIN CA Y EST

Hé oui, enfin, ce soir ce sont les ……………………… VA.CAN.CES

Elles vont être appréciées de plein de monde celles là. Et de moi la première, d’abord parce que je ne sais pas ce que j’ai mais je suis crevée, et ensuite parce que me faire saucer comme ça, à chaque sortie d’école, j’en ai marre.

Alors j’espère et souhaite fortement à toutes mes mamans qui passent par là de très bonnes vacances de Noël, même à celles qui se cachent

J’espère aussi que cette période de fête soit propice à la réflexion et à la paix. Que cette période vous fasse aussi penser aux autres et vous rendent moins égoïstes pour certaines

Je vous souhaite donc à vous les mamans de mes p’tits loups, de

 

TRES BONNES FETES DE FIN D’ANNEE

CHACUN FAIT COMME IL PEUT

Encore un feuilleton de la série « l’instit » qui m’a non seulement fait pleurer (hé oui je suis une vraie fontaine) mais qui donne aussi à réfléchir. Cet épisode c’est « l’ange des vignes » l’histoire d’un petit garçon désigné pour être l’ange des vigne à la fête du village, mais dont les parents découvrent suit à un malaise, qu’il a une tumeur au cerveau, et qui ne disent rien à personne. Bientôt les langues vont se délier et tout et n’importe quoi va fuser.

Il n’y a pas de honte à être gravement malade, il suffit juste d’essayer de l’accepter, pour nous comme pour notre entourage d’ailleurs. Et c’est aussi dans ces cas là que l’on se dit qu’on n’est pas grand chose sur cette terre, et que, les futilités, les prises de tête, les bouderies, sont bien peu de choses à côté du prix d’une vie.

Alors essayons d’être moins bêtes, plus fort(e)s, et  voyons les choses en « adultes », l’entente et la solidarité peuvent parfois faire de grands miracles.

Alors oui, chacun fait comme il peut par rapport à la douleur physique ou morale. Chacun réagit à sa façon, ça ne veut pas dire qu’on  ne ressent rien, qu’on n’a pas de peine.

J’ai eu des moments difficiles dans ma vie, j’en ai encore d’ailleurs, et tout le monde croit que je vais bien tout va bien. J’essaie juste de garder pour moi certaines choses que je ne peux de toute façon pas partager. Et je ris, je chante, je danse, je décôôôôôôôôôôôôônnnnnnnnnnnnnnnneeeeeeeeeeee (tiens tiens), mais l’intérieur rumine, n’allez pas croire que je suis insensible à votre peine, n’allez pas croire que malgré mon air sec et bourru, ma grande « trappe » je ne pense pas à vous. Il y a tant de choses qui me bouffent dans ce fichu monde.

Je pense à toi et suis vraiment désolée et très peinée

LE JEU

http://www2.selection.ca/wordpower.html

DIS PAPI J’AI RETROUVE TON CHAPEAU