Ami lointain qui te reconnaîtras
Si bien sûr tu passes par là
Tu as fait de ma vie
A un moment d’été
Une nana qui re-sourit
Oui ami lointain, enfin pas si loin que ça d’ailleurs, à écouter les gens, à te soucier de ton paraître, tu t’es perdu dans les méandres de la confusion, tu t’es dit « je ne pourrais plus les regarder en face ». Mais qui ???? Pourquoi ???? Pour qui vis-tu ????
Toi qui es tellement préoccupé par ce que les gens pensent de toi.
Toi qui es grimpé sur ce pied d’estale, qui fait que tu as du mal à en redescendre.
Toi qui pourtant n’es qu’un homme comme je te l’ai si souvent dit, et comme le chante si bien Jacques Brel.
Toi qui a pourtant tant à offrir.
Toi qui souffre d’une situation que tout compte fait tu n’assume pas.
Toi qui, pourtant et pour qui l’amitié d’une certaine est sacrée.
Toi avec qui j’ai tant ri, et tant pleuré.
Toi qui connais les plus lourds de mes secrets.
Toi qui pourtant a décidé de t’éloigner.
Toi qui par tes mots a réussi à presque me canaliser (avec quelqu’un d’autre). Toi qui pourtant avait tant besoin d’amitié.
Toi qui avais tant d’occupations pour fuir la maison.
Toi qui te dis LIBRE, mais qui ne l’est pas tant que ça
Alors me direz-vous, pourquoi ne lui écris tu pas ? Tout simplement parce qu’il y a des choses qu’on n’écrit pas pour ne pas que ça tombe dans des mains, sous les yeux de quelques uns qui ne comprendraient pas.
Les mots d’amitié
Sont des mots d’amour
Que les étrangers
A ces beaux discours
Ne peuvent rien comprendre
Et même se méprendre
Sur des sentiments
Si purs et beaux pourtant
Je n’ai rien compris à ce long silence, et même cette absence, sans un mot d’explication. Les mails, les SMS, sont restés sans réponse. Alors pour le coup je me demande si :
Tu es bien vivant,
Si tu vas bien,
Si tout simplement,
Su es heureux enfin
Alors si c’est le cas,
De m’inquiéter excuses moi
Mais l’amitié c’est aussi
De veiller sur ses ami(e)s
En toute honnêteté je crois
En tout cas je suis ainsi.
Un petit mot pour me dire
Que tout va pour le mieux
M’aurait fait très plaisir
D’enfin te savoir heureux
Comme de la jalousie, ma foi
Et pourtant crois moi
Je ne fuis ni suis pas comme ça